21 juin 2015

Icônes américaines


Le Grand Palais propose jusqu'à demain l’exposition Icônes américaines qui présente les chefs-d’œuvre du Musée d'Art Moderne de San Francisco (actuellement en travaux) et la collection particulière Fisher, les richissimes fondateurs de l'enseigne Gap.

C'est l'occasion d'admirer des mobiles d'Alexander Calder, des créations pop de Roy Lichtenstein, des tableaux d'Andy Warhol et notamment celui qui constitue l'affiche : Liz (Elizabeth Taylor) colorisée par ses soins. 
On peut également voir des créations de Cy Twonbly, Richard Diebenkorn, Donald Judd... parmi les 14 artistes exposés.

En revanche, l'exposition est très réduite et limitée en nombre d’œuvres exposées. La visite se fait en moins de 30 minutes, c'est un peu décevant. 

7 juin 2015

Alex Lutz


Alex Lutz joue ce spectacle depuis de nombreux mois.


Ce one-man show commence par l'incarnation d'un acteur porno, ce qui détend tout de suite l'atmosphère. Puis, il fait le récit de castings passés plutôt ratés. Il revisite ensuite l'Histoire de France, nous explique à sa façon d'où vient le nom du quartier Montparnasse, les batailles avec les Huns... et c'est réussi !


Pendant 1h45, son one-man show, jamais vulgaire ni méchant, alterne les imitations, les mises en situation, dans le magnifique cadre du théâtre du Châtelet.
Il sait s'entourer de choristes et de danseuses de ballets pour certaines chorégraphies.

Mon sketch préféré est celui où, à la manière d'un journaliste annonçant les titres d'un journal télévisé, il enchaîne les informations absurdes. Le travail sur la voix et les intonations est remarquable et les textes, sans queue ni tête, sont très drôles.

Son rappel est à la fois épique et hippique, tout en conservant une mise en scène minimaliste avec peu d'accessoire.

C'est un comédien de théâtre, de publicité, de one man show, de cinéma (acteur et réalisateur depuis peu) et de télévision avec le rôle de Catherine dans Catherine et Liliane dans le Petit Journal.

Ce petit blond, comme il se désigne lui-même, imite parfaitement l'accent allemand de Karl Lagerfeld. Cela m'a rappelé son rôle de fils de nazi dans OSS 117.

J'ai bien aimé ce psectacle vu il y a quelques semaines déjà. J'ai passé un bon moment, mais il ne m'a pas laissé cependant pas un souvenir impérissable.