Le dernier film de Woody Allen se situe comme son titre l'indique dans la capitale italienne.
On y suit plusieurs personnages au travers de leurs aventures romaines, certaines sont totalement absurdes, comme le personnage incarné par Roberto Benigni qui devient célèbre du jour au lendemain sans raison (ce qui rappelle le quart d'heure de gloire d'Andy Wahrol) ou un chanteur lyrique qui s'ignore et s'épanouit en s'exerçant sous la douche.
L'histoire la plus aboutie est celle avec Jesse Eisenberg (qui incarne une sortie de Woody Allen jeune) et Ellen Page (en femme fatale et séductrice).
Celle qui m'a le plus déçue est avec Penélope Cruz en call girl qui se trompe de cible masculine.
Le Woody Allen de cette année n'est pas un grand cru, il est un peu décevant, d’autant plus que les histoires ne s’entremêlent pas. Il se laisse voir pour le charme qu'il dégage, notamment via les paysages de Rome, et le plaisir de le retrouver en tant que comédien dans son propre film, ce qui n'était pas arrivé depuis Scoop en 2006.
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